Mis en ligne le 15/12/2008 (La Libre)
Le
rapport ne tranche pas les questions soulevées d'une éventuelle régionalisation
de l'école ou de la culture. En revanche, il demande un refinancement de la
Région bruxelloise et l'élargissement de cette région pour donner un territoire
contigu à Bruxelles et à la Wallonie.
Le rapport de synthèse
final du groupe Wallonie-Bruxelles penche en faveur des communautaristes,
confirmant la Communauté française (à rebaptiser Fédération Wallonie-Bruxelles)
comme un niveau de pouvoir opportun devant disposer d'un gouvernement et d'un
parlement propres, et traduisant donc un relatif statu quo, indique lundi Le
Soir.
Le rapport préconise une amélioration de l'articulation des institutions régionales (wallonne et bruxelloise) et communautaire pour mieux répondre aux impératifs de développement de la Wallonie et de Bruxelles.
Il note également que la répartition des compétences entre Régions et Communautés peut parfois affaiblir la cohérence des stratégies de développement régional (Plan Marshall, Contrat pour l'économie et l'emploi bruxellois). Enfin, il pointe du doigt le grand nombre d'institutions, qui ne favorise pas spontanément leur développement optimal.
Selon le rapport, la Fédération Wallonie-Bruxelles conserverait un parlement et un gouvernement propres, mais émanant principalement des organes régionaux correspondants, ce qui suggérerait le voeu d'encore renforcer l'implication des ministre régionaux dans l'exécutif francophone. Il est encore dit que la Communauté devrait mieux entendre les spécificités régionales, quitte à engager des politiques différentes en fonction des bassins de vie ou d'emploi. Le groupe appelle à une simplification des institutions politiques et des services administratifs, sans préciser qui est visé, le débat devant "être poursuivi".
Le rapport ne tranche donc pas les questions soulevées d'une éventuelle régionalisation de l'école ou de la culture. En revanche, il demande un refinancement de la Région bruxelloise et l'élargissement de cette région pour donner un territoire contigu à Bruxelles et à la Wallonie.
Le rapport préconise une amélioration de l'articulation des institutions régionales (wallonne et bruxelloise) et communautaire pour mieux répondre aux impératifs de développement de la Wallonie et de Bruxelles.
Il note également que la répartition des compétences entre Régions et Communautés peut parfois affaiblir la cohérence des stratégies de développement régional (Plan Marshall, Contrat pour l'économie et l'emploi bruxellois). Enfin, il pointe du doigt le grand nombre d'institutions, qui ne favorise pas spontanément leur développement optimal.
Selon le rapport, la Fédération Wallonie-Bruxelles conserverait un parlement et un gouvernement propres, mais émanant principalement des organes régionaux correspondants, ce qui suggérerait le voeu d'encore renforcer l'implication des ministre régionaux dans l'exécutif francophone. Il est encore dit que la Communauté devrait mieux entendre les spécificités régionales, quitte à engager des politiques différentes en fonction des bassins de vie ou d'emploi. Le groupe appelle à une simplification des institutions politiques et des services administratifs, sans préciser qui est visé, le débat devant "être poursuivi".
Le rapport ne tranche donc pas les questions soulevées d'une éventuelle régionalisation de l'école ou de la culture. En revanche, il demande un refinancement de la Région bruxelloise et l'élargissement de cette région pour donner un territoire contigu à Bruxelles et à la Wallonie.
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