samedi 15 décembre 2012

NE DITES PLUS COMMUNAUTE FRANCAISE MAIS FEDERATION WALLONIE-BRUXELLES (RTBF)

Le groupe Wallonie Bruxelles lancé il y a un an pour réfléchir à l'architecture institutionnelle francophone a rendu ses conclusions. Des conclusions pas encore définitives, mais un rapport qui rencontre les positions des représentants des 4 partis.... Formé il y a un an, le groupe Wallonie-Bruxelles, composé de 18 parlementaires, 18 membres de la société civiles et co présidé par Antoinette Spaak et Philippe Busquin a donc clôturé ses travaux. Si ceux-ci débouchent sur un consensus politique fort, il s’agit aussi d’un consensus pour ne pas choisir, ce dont le se défend Philippe Busquin se défend : c’est beaucoup plus positif que cela dit-il; c’est un consensus politique qui éteint l’ambiguïté en régionalistes et communautaristes. C’est un équilibre entre le fait régional et la solidarité Wallonie-Bruxelles. Les partis francophones peuvent donc aller aux élections régionales en ayant levé cette ambiguïté.L'affirmation des Régions et le maintien d'un espace institutionnel commun doté d'institutions politiques et de compétences propres sont des faits acquis. Comme la revendication d'un élargissement de Bruxelles et son refinancement. Irréversible aussi le principe d'un gouvernement de la Communauté française principalement composé de ministres régionaux bruxellois francophones et wallons. Reste que le groupe Wallonie Bruxelles n'a pas été aussi loin qu'il espérait. Pour Antoinette Spaak, nous continuons nos travaux et nous reparlerons en jour des compétences et des moyens financiers, autant dire le noeud du débat, notamment parce qu'il doit fixer le sort de l'enseignement. Le Groupe Wallonie Bruxelles propose de s'y atteler, lorsqu'il reprendra ses travaux,.... après les élections régionales de juin 2009.

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